Nicolas Aslanoff s’est endormi subitement dans le Seigneur le 5 février 2024.

Toutes nos pensées, notre amitié et nos prières vont à ses parents Vanka et Claire, à ses frères Etienne et Alexandre, à toute sa famille et à tous ses nombreux amis.

Nicolas était un membre solaire du Mouvement, un Rouko et un plongeur de choc. Véritable enfant du camp, où il est venu dès son plus jeune âge, il était un droujinik puis un rouko aimé de tous, en particulier des plus jeunes, probablement parce qu’il a gardé une âme d’enfant avec laquelle on s’émerveille encore des choses simples. Nous nous souvenons de son humour, de ses formidables imitations de Chourik ou de Stromae. S’il était discret de premier abord, il plaçait toujours le bon mot pour faire éclater de rire toute l’assemblée. Derrière ses allures de dur à cuire, ses buts légendaires, sa combativité lors des match de foot du dimanche, c’était un poète, grand connaisseur de la chanson française et amateur de musique russe. Il dévoilait sa sensibilité, se transformait littéralement quand résonnaient « Les corons » ou « Petite Marie », laissant transparaitre toute sa profondeur romantique que cachait habituellement sa grande timidité.

Nous voyons son sourire empreint de douceur, ses fossettes charmantes, nous entendons son rire aux éclats. Il avait le don de rassembler les gens. Nicolas était épris de justice, très sensible et révolté contre ce qui lui semblait injuste. Et c’était avant tout, pour nombre de jeunes du camp, un frère, très généreux dans son amour tout particulier pour sa génération d’amis qui comptaient tant pour lui et à qui il manque cruellement.


Mémoire éternelle !

Le Christ est ressuscité !

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